Le mois d’Octobre est dédié à la sensibilisation au dépistage de cancer. Du sein en priorité, mais aussi du cancer en général.
2022 fait un focus sur le cancer du col de l’utérus, dépisté via les frottis réalisés régulièrement lors de suivis médicaux.
Nous avons toutes une amie, une personne de notre famille, une connaissance ou relation de travail qui sera touchée un jour par cette maladie. Nous pouvons nous aussi y être confrontée.
Nous savons aujourd’hui que plus un dépistage est fait précocement, plus les chances de soins et de guérison, avec l’amélioration des traitements, est forte.
Mais comment agir en prévention ?
Car si se faire dépister régulièrement est important, c’est une photographie de la situation à un instant T, ce n’est en rien un moyen d’agir préventivement face à différents facteurs de risques liés au cancer du sein.
Je vous propose donc d’aborder ce dernier point qui me semble primordial et dont chaque femme devrait être informée : la prévention.
Prévenir et mettre toutes les chances de son côté plutôt que réparer un organisme déjà touché par la maladie, même à un stade précoce.
Prévenir en prenant en compte les différents facteurs sur lesquels nous pouvons agir, c’est-à-dire notre environnement au sens global. Certes ces facteurs peuvent être multiples mais vous verrez qu’il est tout à fait possible d’agir, petit à petit, sur la plupart d’entre eux.
L’objectif de ce sujet est donc d’aborder un point primordial face à la maladie mais souvent peu développé : la prévention à travers l’hygiène de vie qui en découle. Aujourd’hui, 4 cas sur 10 pourraient être évités par une hygiène de vie adéquate.
Ce n’est en rien une solution miracle ou magique et en aucun cas je ne peux écrire que prévenir et influer sur votre hygiène de vie stoppera toute possibilité à la maladie de se développer. Le cancer est une maladie multifactorielle, il est parfois complexe de toutes les maîtriser. Et encore aujourd’hui, la recherche « …suppose l’existence de certains facteurs, sans pour autant l’avoir clairement démontrée… ».*
Mais vous pouvez agir pour votre santé et réduire au maximum les risques.
Prévenir plutôt que guérir.
Bref rappel sur le cancer
Il est défini comme suit par l’Institut National du Cancer en France :
« Maladie provoquée par la transformation de cellules qui deviennent anormales et prolifèrent de façon excessive. Ces cellules déréglées finissent par former une masse qu’on appelle tumeur maligne. Les cellules cancéreuses ont tendance à envahir les tissus voisins et à se détacher de la tumeur. Elles migrent alors par les vaisseaux sanguins et les vaisseaux lymphatiques pour aller former une autre tumeur (métastase). ».
Le mot cancer désigne aujourd’hui de façon générique un grand nombre de maladies touchant différents organes du corps. Il n’y a pas un cancer mais des cancers.
3 phases ont été identifiées dans son évolution :
- L’Initiation, sorte de 1ere étape, qui peut intervenir plusieurs dizaines d’années avant l’apparition d’une tumeur : différents phénomènes (externes ou internes) favorisent la lésion d’une cellule qui mute en cellule cancéreuse. Notre système immunitaire est chargé d’éliminer ces cellules lésées, mais parfois elle reste comme « endormie », en latence.
- La Promotion : les cellules transformées se développent. Une cellule lésée est réactivée (par le stress, une maladie inflammatoire récurrente, cholestérol en excès, une exposition aux polluants, etc…) sans que le système immunitaire, probablement affaibli, ne puisse réagir.
Ces 2 premières phases se déroulent donc avant un possible diagnostic. Aucun symptôme, ni signe spécifique n’est visible. *
- La progression ou prolifération : les cellules se multiplient de façon anarchique, elles deviennent indépendantes vis-à-vis de signaux qui permettraient de les réguler, elles se divisent indéfiniment et échappent au processus de mort programmée : la tumeur apparait avec son lot de symptômes.
En résumé : quand le système se dérègle pour de multiples raisons (facteurs externes de l’environnement, ou facteurs internes : émotions, système immunitaire…), l’organisme ne sait plus gérer les cellules mutées qui « profitent de la situation » pour se multiplier et s’organiser. La tumeur apparait.
Le dépistage peut vous sauver la vie, oui.
Mais agir en prévention sur tout ce qui peut amener les cellules à muter et votre organisme à ne plus pouvoir gérer est AUSSI important. *
Agir via son hygiène de vie
L’hygiène de vie adéquate va permettre de limiter au maximum les facteurs pouvant engendrer l’Initiation, 1ere phase décrite plus haut.
Autrement dit, c’est choisir d’influer en positif sur votre environnement afin de limiter tout ce qui pourrait entrainer la mutation de cellules de façon plus importante que ce qui se fait naturellement dans le corps.
A noter : les mutations cellulaires sont un phénomène normal, lorsqu’une cellule est reconnue comme anormale par notre système immunitaire, elle est éliminée avant de se développer. La fréquence des mutations augmente en vieillissant.
Vous comprenez donc également le rôle important que joue notre système immunitaire à ce niveau et à quel point il est nécessaire de le maintenir en bon fonctionnement, j’y reviendrai dans la partie 2.
Une grande partie des facteurs pouvant influer sur nos cellules est aujourd’hui bien connu. Vous en avez vu une partie sur le schéma ci-dessus qui concerne les 3 phases de développement d’un cancer, je vais y revenir point par point.
Les facteurs les plus connus
- Perturbateurs endocriniens et pesticides
Ce n’est pas un scoop, mais cela reste une source (très) importante dans nos vies modernes. Ils sont partout !
On les retrouve dans les cosmétiques, les tissus et leurs colorants, les additifs alimentaires et/ou conservateurs alimentaires, dans nos contenants en plastique donc les emballages, les peintures….et les pesticides dont toutes les molécules « créées » sont faites pour tuer/éliminer l’insecte ou maladie posant problème.
Les perturbateurs endocriniens, appelés aussi xéno-œstrogènes, fonctionnent un peu comme un leurre au niveau hormonal. Ces molécules pourront ressembler suffisamment à des hormones pour que le corps les identifie comme tel et les laisse agir sur nos récepteurs hormonaux. Perturbateurs endocriniens se trouvent donc à impacter les organes qui dépendent des hormones, comme sein ou prostate par exemple, voire à perturber le fonctionnement de glandes endocrines voire dans certains favoriser certaines obésités.
Quelques exemples connus de perturbateurs : pesticides organochlorés, parabens, bisphénol-A (le Bisphénol S qui est utilisé en remplacement n’est semble t’il pas mieux), PCB, détergents, chimiques, retardateurs de flamme dans les textiles de la maison/matelas…et l’effet cumulatifs de ces différentes molécules est bien entendu pire. On parle d’effet cocktail.
=> La 1ere chose à faire sera donc de chercher à limiter leur présence dans nos vies et ainsi diminuer leurs potentiels effets sur nos cellules.
=> lire les étiquettes des produits achetés ! ce n’est pas le truc le plus sympa à faire en faisant ses courses ou achats, mais c’est fort utile…on finit par reposer beaucoup (mais vraiment beaucoup) de choses. On peut s’aider d’applications bien connues qui font une partie du boulot :
- L’application Yuka bien connue aujourd’hui, permet de faire rapidement les bons choix : vous pouvez choisir de tester toute la partie alimentaire qui contient de nombreux additifs mais également tester vos cosmétiques. C’est fonctionnel et peut être utilisé en faisant ses courses (à noter que l’on y trouve même aujourd’hui des produits issus de plantes et fabriqués par de petits producteurs et paysans herboristes !)
- Spécialisée sur les cosmétiques, vous pouvez aussi utiliser l’application Clean Beauty, afin de mieux choisir les produits en contact direct avec votre peau.
=> Limiter aussi votre consommation de produits industriels cuisinés contenants additifs et conservateurs
=> Préférer des boites de conservation en verre et attention aux couvercles en plastique !
=> Choisir au maximum vos tissus (d’habillement, d’intérieur) avec un label type Oeko tex à minima
Soutenir et/ou aider régulièrement son foie avec des plantes visant à maintenir son bon fonctionnement, voire détoxifier le corps (même si je ne suis pas une grande fan de détox comme expliqué ici!), afin de l’épauler dans l’élimination de perturbateurs endocriniens et autres xenoestrogènes sera fort utile.
Pour aller plus loin : vous pourrez trouver informations, conseils lectures et mini-guides sur le site de L’Association Santé Environnement France (Asef) et concernant les pesticides sur le site de l’Alerte des Médecins sur les Pesticides (AMPL) avec un onglet « Ressources » très utile.
Geneviève Barbier – Armand Farrachi : la société cancérigène, lutte t’on vraiment contre le cancer ?
Article : quels sont les effets des pesticides sur la santé ?
A noter que les ondes, smartphone – box – bluetooth en tête, ne sont pas dénuées d’impact sur nos vies. Toujours présenté comme sur, l’essor rapide et phénoménal de ce type de produits ne nous permet pas d’avoir un recul suffisant à long et très long terme.
L’association Asef a édité un petit guide sur ce sujet.
A minima, pas de téléphone à côté de votre tête quand vous dormez, et éteignez la wifi la nuit. C’est programmable sur une box…. et dans un contexte d’économie d’énergie, ça coule de source presque.
- Maintenir un cycle relativement stable et sans troubles
Certes, les cancers hormono-dépendants ne sont pas l’apanage des Femmes (le cancer de la prostate chez l’Homme pouvant aussi être hormono-dépendant pour rappel), mais elles restent plus soumises à de nombreux traitements hormonaux (pilule, traitement hormonal substitutif…) en parallèle d’une influence potentielle de leur environnement (perturbateurs endocriniens ou xeno-oestrogènes qui seraient présents en excès) et qui peut venir perturber les récepteurs hormonaux (voir plus haut).
S’assurer d’avoir un cycle menstruel exempt de symptômes (et douleurs), réagir en cas d’aménorrhée ou au contraire de ménorragie (règles trop abondantes) ou encore de SPM plus ou moins fort par exemple reste important. Sans parler du stress qui peut à lui seul perturber un cycle.
C’est agir tout d’abord pour votre confort de vie mais également agir de façon plus large sur des facteurs pouvant influer votre santé.
- Le Tabac et l’alcool
Leur consommation, trop, régulière démultiplie le risque de cancer. De nombreuses informations sur le tabac sont faites à ce sujet, un peu moins pour l’alcool. A noter la particularité des Femmes vis à vis de ces 2 « produits » : à consommation moindre (que les Hommes) elles sont plus sensibles à leurs effets délétères.
=> Le tabac a une toxicité spécifique pour les organes reproductifs féminins : les femmes fumeuses seront plus exposés au risque de cancer du col de l’utérus, des ovaires ou du sein. Et la combinaison tabac-contraceptif oestroprogestatif augmente les risques cardio-vasculaires (1ere cause de mortalité des femmes, avant le cancer du sein !).
=> L’alcool, dont l’essor auprès des jeunes femmes est en constante progression grâce à un marketing ultra efficace. Comme le rappelle Caroline de Pauw dans son livre « …une répartition différente de la masse graisseuse et l’imprégnation hormonale (des femmes) entraine des effets plus dévastateurs et dose-dépendants… », les femmes sont donc plus vulnérables à la toxicité de l’alcool.
Sans parler des phénomènes de mode de « Binge drinking » ou biture express en français dans le texte, entrainant sur le long terme bien entendu des complications graves mais également une surexposition à des risques cognitifs plus importants pour les femmes.
Pour aller plus loin : La santé des femmes, un guide pour comprendre les enjeux et agir – Caroline de Pauw, livre dont sont tirées ces informations. Il y a malheureusement beaucoup à dire sur ce sujet.
- La génétique et les prédispositions familiales
Situation qui est identifiée comme un facteur de risque interne.
Du fait de l’altération génétique de gènes (gène BRCA1 ou BRCA2 mais également PALB2, CHEK2, CDH1, ATM pour ne citer que ceux-là), cette forme de cancer a longtemps été considérée comme inéluctable. Situation restant rare (de 5 à 10% des cas de cancer), les femmes identifiées à risque sont aujourd’hui très suivie afin de limiter tout développement pathogène.
Aujourd’hui, la modulation (je parle bien de moduler et non pas de faire disparaitre des causes) via l’épigénétique peut, en parallèle, être un moyen d’agir à son niveau et complémentaire.
Cela revient à faire quoi ? Agir sur son hygiène de vie, sur son alimentation mais également sur son « hygiène émotionnelle », avoir une activité physique…cela peut paraitre bête tellement ces actions semblent simples.
Pourtant, l’épigénétique permet aujourd’hui de savoir que, comme le précise le Dr Eric Meynat : « … des prédispositions génétiques défavorables ne s’exprimeront pas automatiquement chez les personnes concernées. Elles le seront seulement si l’environnement avec lequel la personne est en contact est régulièrement défavorable… ».
Pour aller plus loin : Livre du professeur G. Deray – Choisissez votre destin (épi)génétique (existe en livre de poche)
Livre de G. Grigorieff – L’épigénétique : agissez sur vos gènes pour vivre en meilleure santé
Livre de N. Zammatteo et M. Botman : L’impact des comportements sur l’ADN, quand nos choix créent notre bien-être. La dynamique épigénétique.Le choix n’est pas exhaustif, il en existe bien d’autres sur ce sujet.
- Le surpoids – obésité et l’absence d’activité physique
Une alimentation déséquilibrée, faible en légumes, fruits, fibres alimentaires mais riche en aliments transformés ou ultra-transformés de l’agro-alimentaire, en sucres (souvent cachés) et en gras trans (c’est à dire insaturés) finit inéluctablement par poser problème.
Ces graisses transformées finissent par augmenter le mauvais cholestérol (LDL), favoriser une résistance à l’insuline voire un diabète et doublent le risque de cancer du sein chez la femme.* D’autre part, un excès de tissu adipeux peut entrainer l’augmentation de la résistance à l’insuline. Et une hyperinsulinémie favorisera la prolifération de cellules (normales ou lésées). Un surpoids comme l’obésité, peuvent induire un situation inflammatoire chronique (la fameuse Inflammation de Bas Grade ou IBG) qui elle-même peut entrainer la multiplication de cellules…
Pizzas industrielles et autres produits panifiés, margarines, viennoiseries industrielles, plats cuisinés, barres chocolatées et « malbouffe » sont donc largement à limiter dans son assiette. Fuyez également tout produit contenant des huiles hydrogénées partiellement ou non (là encore lire l’étiquette au dos peut-être fort utile).
A noter que dès 2004, au Danemark, l’étiquetage mentionnant la présence d’AG trans était rendu obligatoire faisant ainsi chuter la consommation des produits en contenant. Au Canada, l’étiquetage a été modifié en 2002, et l’interdiction de les ajouter aux plats industriels est entrée en vigueur en 2018. Certains états américains les ont aussi interdits. D’autres pays on suivi le mouvement (Suisse, Lettonie, Autriche, Islande, …). En France ? Flou total, il n’est même pas imposé que leur présence apparaisse sur l’étiquette…
En 2018, L’OMS lançait un plan afin d’éliminer la présence d’AG trans d’ici 2023 dans l’alimentation. Je n’ai pu trouver de point d’étape à ce jour (octobre 2022) sur ce plan, même si l’Union Européenne à légiféré sur ce point en 2019.
Quant à l’absence d’activité physique, elle est devenue, depuis la crise du covid, un nouveau problème de santé. Le télétravail a généré encore plus d’inactivité que nos modes de vie contemporains ne l’avaient déjà fait jusqu’à présent !
Travail assis, temps de trajet assis, déplacements motorisés (ascenseur et escalator compris), sans en faire une généralité, nous bougeons pourtant de moins en moins, ce qui est plus que problématique pour notre corps !
Marcher minimum 30 minutes par jour est tout à fait possible. Se rendre dans le bureau d’un collègue plutôt que de l’appeler ou lui envoyer un mail. Monter au moins 1 étage à pied. Se garer un peu plus loin lorsqu’on passe au supermarché, ou avant de monter dans un tram, métro, bus…autant de petites actions qui permettent de bouger régulièrement au cours d’un journée. Et reprendre une activité physique, tranquillement après avoir validé si besoin avec votre médecin que tout est Ok.
Pour aller plus loin : Cancer du sein, choisir une alimentation adaptée
Bouger pour un coeur en forme
Activité physique et maladie cardiovasculaire
- Les infections et virus
Certains virus ou infections (papillomavirus ou HPV, hélicobacter pylori, virus des hépatites B-C, virus d’Epstein-Barr ou EBV) peuvent être responsables de certains type de cancer. Vaccination et/ou dépistage sont souvent les moyens les utilisés pour les prévenir.
L’angle du vue de l’énergétique chinoise
Sachez tout d’abord qu’elle considère que les émotions sont responsables de la majeur parties de nos maladies. Les émotions (mal vécues-gérées, non exprimées, etc…) peuvent entraver la circulation du Qi et entrainer une stagnation.
Le Foie étant l’organe qui orchestre la libre circulation du Qi de façon harmonieuse, il est donc important de s’assurer de son bon fonctionnement. Car tout blocage de cette circulation entrainera une stagnation et donc des douleurs et symptômes que l’on regroupe souvent sous le terme de SPM.
Ensuite, de nombreux méridiens passent au niveau des seins : méridien du Foie donc, mais également celui du Rein, de l’Estomac aussi et le fameux Chong Mai débutant au niveau de l’utérus et se ramifiant jusqu’aux seins.
Tout blocage de circulation au niveau de l’un de ces méridiens, voire une déficience de Qi pour le Rein, peut entrainer une suite de problèmes liés aux seins, commençant par de simples symptômes (comme les SPM auxquels on prête peu d’attention tant qu’ils ne sont pas invalidants), et allant jusqu’à des problématiques plus graves (endométriose, stérilité, adénofibrome ou cancer).
De notre côté de la lorgnette, souvent peu développé, voire carrément réfutée, cette approche incluant l’émotionnel ne fait pas consensus pour le moins ! Pourtant les émotions tues – cachées ou mal vécues sont source de mal-être. Ne pas hésiter à consulter un psy. Les thérapies courtes, c’est un bon moyen d’évacuer, dans un cadre professionnel, ces émotions perturbantes.
Si vous ne deviez retenir qu’une chose, n’attendez pas de souffrir fortement pour agir sur votre cycle. Dans certains cas, l’effet cocktail multipliant les facteurs défavorables sera fortement délétère.
Vous voyez donc à travers ce panel de facteurs connus qu’il y a déjà pas mal d’actions à faire pour soi, pour sa propre santé. Suivant d’où l’on part, le chemin peut sembler assez long. Cependant, beaucoup d’entre nous avons déjà mis en place des actions sur certains de ces facteurs. Différents scandales et alertes nous y poussé.
Dans la partie 2, j’aborderai les aliments à inclure régulièrement dans son alimentation chaque semaine tout comme les plantes médicinales fort utiles pour soutenir certains systèmes du corps humain. Pas de plantes ou aliments magiques comme déjà dit, mais une approche plurielle.
Plus vous agirez pour votre Vitalité et multiplierez les bons choix, plus vous agirez en amont sur ce qui peut influer la phase 1 vue plus haut.
Vous pouvez devenir actrice de cette prévention. A vous de jouer.
*Sources :
https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/cancer-sein/comprendre-cancer-sein#:~:text=Le%20cancer%20du%20sein%20est,dans%209%20cas%20sur%2010.
https://www.e-cancer.fr/Comprendre-prevenir-depister/Reduire-les-risques-de-cancer/Comment-prevenir-au-mieux-les-cancers
https://www.e-cancer.fr/Comprendre-prevenir-depister/Qu-est-ce-qu-un-cancer/Mecanisme-de-cancerisation
https://cancer.ca/fr/cancer-information/what-is-cancer/genes-and-cancer#:~:text=Les%20cellules%20porteuses%20d’une,%C3%A0%20mesure%20que%20nous%20vieillissons.
https://www.e-cancer.fr/Comprendre-prevenir-depister/Reduire-les-risques-de-cancer/Comment-prevenir-au-mieux-les-cancers/Cancer-des-causes-multiples
La santé des femmes, un guide pour comprendre les enjeux et agir – Caroline de Pauw
https://www.santemagazine.fr/alimentation/nutriments/lipides-et-acides-gras/les-acides-gras-trans-emblemes-de-la-malbouffe-178250
https://www.anses.fr/fr/content/les-acides-gras-trans
https://www.who.int/fr/teams/nutrition-and-food-safety/replace-trans-fat
https://www.e-cancer.fr/Professionnels-de-sante/Facteurs-de-risque-et-de-protection/Surcharge-ponderale
https://www.fondation-arc.org/cancer/cancer-sein/facteurs-risque-cancer
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